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santé - Page 206

  • Informations médicales : internet (3/3)

    Nous proposons sur trois jours une étude publiée sur le site de la Haute Autorité de Santé en mai 2007 (cliquer ici pour accéder au site de la HAS ou au document pdf original)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1504895/fr/patients-votre-navigation-sur-les-sites-internet-en-sante?xtmc=&xtcr=40

    http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/recherche_informations_medicales_internet.pdf

    I.   Les outils pour démarrer

    I.1. Comment fonctionnent les moteurs de recherche ?

    I.2. Des conseils pour mieux utiliser les moteurs généralistes

    II. D’autres ressources pour effectuer une recherche

    II.1. Les sites de documentation scientifique

    II.2. Les bases de données bibliographiques de référence

    II.3. Les sites publics

    II.4 Les sites des associations de patients et Les catalogues

     

    II.3. Les sites publics

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  • Informations médicales : internet (2/3) (04 06 2013)

    Nous proposons sur trois jours une étude publiée sur le site de la Haute Autorité de Santé en mai 2007 (cliquer ici pour accéder au site de la HAS ou au document pdf original)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1504895/fr/patients-votre-navigation-sur-les-sites-internet-en-sante?xtmc=&xtcr=40

    http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/recherche_informations_medicales_internet.pdf

    I.   Les outils pour démarrer

    I.1. Comment fonctionnent les moteurs de recherche ?

    I.2. Des conseils pour mieux utiliser les moteurs généralistes

    II. D’autres ressources pour effectuer une recherche

    II.1. Les sites de documentation scientifique

    II.2. Les bases de données bibliographiques de référence

    II.3. Les sites publics

    II.4 Les sites des associations de patients et Les catalogues

     

    Les lieux d’échange entre patients

    Les listes de discussion entre patients et proches permettent d’échanger des informations et de soumettre à l'expérience des abonnés les informations trouvées sur Internet. Les forums sont de qualité très inégale

     

    II. D’autres ressources pour effectuer une recherche

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  • Informations médicales : internet (1/3) (03 06 2013)

    Nous proposons sur trois jours une étude publiée sur le site de la Haute Autorité de Santé en mai 2007 (cliquer ici pour accéder au site de la HAS ou au document pdf original)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1504895/fr/patients-votre-navigation-sur-les-sites-internet-en-sante?xtmc=&xtcr=40

    http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/recherche_informations_medicales_internet.pdf

    LA RECHERCHE D’INFORMATIONS MEDICALES SUR INTERNET (Mai 2007)

    I.   Les outils pour démarrer

    I.1. Comment fonctionnent les moteurs de recherche ?

    I.2. Des conseils pour mieux utiliser les moteurs généralistes

    II. D’autres ressources pour effectuer une recherche

    II.1. Les sites de documentation scientifique

    II.2. Les bases de données bibliographiques de référence

    II.3. Les sites publics

    II.4 Les sites des associations de patients et Les catalogues

     

    Ce guide est destiné aux utilisateurs d’Internet sachant déjà utiliser un ordinateur et un navigateur. Ceux n’ayant jamais effectué de recherche sur Internet ou qui ne sont pas à l’aise avec l’utilisation de l’ordinateur peuvent trouver de l’aide auprès des espaces numériques publiques, éventuellement dans les cybercafé. Par ailleurs, il faut souligner la possibilité d’utiliser ces chèques-emplois-service pour rémunérer un formateur venant à domicile.

    Pour ceux qui souhaitent en apprendre davantage, l’Inserm a mis sur internet un support de formation : recherche et évaluation de l’information biomédicale sur le web disponible à l’adresse suivante : (http://infodoc.inserm.fr/asso/index.html)

     

    I. Les outils pour démarrer

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  • Désertification médicale (29 05 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 avril 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13010315S.html

     

    Question orale n° 0315S de M. Claude Bérit-Débat (sénateur socialiste de Dordogne)

    Madame la ministre, il y a quelques semaines, vous dévoiliez les principales mesures du plan de lutte contre les déserts médicaux.

    Ce plan est d'autant plus indispensable que la pénurie de soins concerne aujourd'hui 10 % de la population française. Ce chiffre, comme toute moyenne, renvoie cependant à des réalités fort différentes.

    Ainsi, dans les territoires ruraux, la situation est extrêmement préoccupante, voire alarmante. C'est le cas, par exemple, dans mon département, la Dordogne, où 30 % de la population a plus de soixante ans. En outre, la Dordogne est le troisième département de France par sa superficie et la densité n'y est que de 46 habitants au kilomètre carré.

    Cela vous laisse percevoir immédiatement les difficultés que rencontrent les Périgourdins en termes d'accès aux soins. Pour les soins de pédiatrie, de gynécologie ou encore d'ophtalmologie, un habitant sur trois se trouve dans un désert médical. En outre, dans un canton sur cinq, on ne trouve plus qu'une seule pharmacie, un canton sur cinq manque d'infirmiers et un canton sur dix est en déficit de médecins généralistes.

    Nous sommes, de plus, confrontés à un manque de médecins assurant les gardes de nuit, et les services d'urgence, SAMU-SMUR, ne peuvent plus répondre aux besoins, faute de personnel.

    La situation est donc déjà plus que difficile.

    Malheureusement, elle ira en s'aggravant puisque les médecins généralistes qui officient sur notre territoire sont aujourd'hui âgés. Si rien n'est fait, un sur deux ne trouvera pas de remplaçant.

    Les élus du territoire se mobilisent pour stopper l'hémorragie. En quelques années, dix maisons de santé ont été ouvertes sur le département. Des contrats locaux de santé ont été passés, notamment dans le nord du département, qui est le plus touché.

    Cependant, cet investissement des collectivités ne suffit pas à inverser la tendance, et l'on peut dire que, inexorablement, le désert médical gagne du terrain en Dordogne.

    Dans votre plan de lutte, vous évoquez, par exemple, la mise en place d'un revenu garanti pour 200 praticiens territoriaux en médecine générale, l'adaptation des hôpitaux de proximité ou bien encore la création d'un référent installation.

    Si je salue ces annonces, je m'interroge toutefois sur leurs effets concrets dans le territoire que je représente. Pourriez-vous m'indiquer, madame la ministre, dans quelle mesure la Dordogne bénéficiera de ce plan afin que notre département ne soit plus le désert médical qu'il est en train de devenir ?

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 10/04/2013 p. 2973

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  • biologie médicale. réforme. perspectives (27 mai 2013)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 9 avril 2013 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-20479QE.htm

    Question n° 20479 de M. Stéphane Demilly (député Union des démocrates et indépendants de la Somme) 

    M. Stéphane Demilly attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le projet de réforme de la biologie médicale et sur les difficultés insurmontables qui risquent d'en résulter pour les petites structures de prélèvement et d'analyses, ce qui ne serait pas sans conséquences pour la couverture biomédicale des populations vivant par exemple en milieu rural et donc sur l'égalité des droits à la santé. Cette réforme prévoit en effet d'imposer des normes techniques regroupées sous le terme d'accréditation, d'un coût estimé par le syndicat des biologistes praticiens à 175 000 euros par an et par laboratoire, coût totalement inadapté aux petites structures.

    C'est d'autant plus inquiétant que les laboratoires de petite et moyenne importance sont confrontés à une obligation d'accréditation extrêmement coûteuse et à des baisses répétées de tarification. Et l'organisme d'accréditation peut décider la fermeture de sites pour des écarts aux normes parfois minimes. Cette situation conduit un certain nombre de biologistes à céder leur activité à des groupes financiers.

    Il attire l'attention du ministère sur le fait que les laboratoires rachetés sont souvent vidés de leurs moyens techniques et humains et deviennent incapables de répondre à leur mission de santé publique de proximité. Les structures, notamment celles situées en milieu rural, deviennent ainsi de simples centres de prélèvements dans lesquels plus aucune analyse n'est effectuée, imposant ainsi aux patients des délais d'attente plus longs et une inégalité d'accès aux soins, les prélèvements partant vers des centres de traitement industriels.

    Les professionnels demandent de revoir les contraintes techniques que cette profession est seule à subir, alors qu'elles représentent moins de 2 % des dépenses de l'assurance maladie. Il demande les mesures envisagées pour valoriser de véritables laboratoires conformes à leur mission, c'est-à-dire humaine et de proximité.

    Réponse du Ministère des Affaires sociales et de la santé publiée au JO le 09/04/2013 p. 3820

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  • Poissons d’élevage : nourriture (25 05 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 24 avril 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13020363S.html

    Recours à des protéines animales pour les poissons d’élevage

    Question orale sans débat n° 0363S de M. Robert Tropeano (sénateur RDSE de l’Hérault)

     

    Ma question porte sur la récente décision de la Commission européenne d'autoriser de nouveau, dans l'alimentation des poissons d'élevage et des autres animaux de l'aquaculture, le recours aux protéines animales transformées, les PAT.

    Cette annonce a provoqué de vives réactions en France, notamment des réactions de défiance parmi les consommateurs, qui n'ont pas oublié que les farines animales ont été à l'origine de la propagation de l'encéphalopathie spongiforme bovine, dite « maladie de la vache folle ».

    En 1997, l'utilisation des farines animales avait en conséquence été interdite pour les ruminants, cette interdiction ayant été étendue en 2001 aux aliments destinés à tous les animaux de consommation. On aurait pu penser que cette interdiction, justifiée par la terrible épidémie qui avait sévi, ferait loi pour l'avenir. Or il n'en est rien !

    Monsieur le ministre, comment pouvez-vous nous assurer que les conditions permettant une utilisation sécurisée de ces protéines animales transformées sont malgré tout réunies ?

    Puisqu'il faut prendre acte de la décision de la Commission européenne, comment allez-vous rassurer tous ceux qui s'alarment de ce non-respect de la chaîne alimentaire consistant à nourrir des poissons avec des farines issues du porc ou de la volaille ?

    Enfin, comptez-vous mettre en œuvre la proposition récemment avancée par Mme Delphine Batho, qui évoquait la création d'un label « sans farine animale », lequel pourrait effectivement, je le pense, sécuriser les consommateurs français soucieux du respect de la chaîne alimentaire et de la qualité des produits nutritionnels ? Une autre piste mériterait d'être étudiée : l'instauration d'un étiquetage spécifique portant la mention « nourri avec ».

     

    Réponse du Ministère chargé des transports, de la mer et de la pêche publiée dans le JO Sénat du 24/04/2013 – p. 3900

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