Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé - Page 206

  • Diabète et plaisir de manger (20 04 2013)

    Nous relayons bien volontiers cette information émanant de nos amis du Centre d'Information et d'Action en faveur des Personnes Agées (CIAPA) sur une réunion prévue à Pau le mardi 30 avril prochain (cliquer ici pour accéder au site du CIAPA)

    www.ciapa.com

    Nous vous informons que le CIAPA en partenariat avec le CLIC de Pau et la CPAM Pau Pyrénées, organise une réunion d'information à destination des seniors :

    “Plaisir de manger et diabète”

    Animée par Benoît TREVISI, Chargé de prévention santé à la CPAM Pau Pyrénées et Marion FUERTES, Diététicienne.

    Le Mardi 30 avril 2013 de 15h à 16h30, au CLIC de Pau - Espace Lydie LABORDE 14, rue Jean Baptiste Carreau à PAU.

     

    Entrée gratuite et ouverte à tous, dans la limite des places disponibles. Un verre de l’amitié clôturera cette rencontre.

     

    Nous vous remercions de relayer l’information auprès de vos lecteurs et de vos équipes.

     

    Moyens d'accès :

    Parking gratuit : Place de verdun

    Ligne de Bus : P4, P5, P6, P7, P8 et T3/Arrêt : Palais de Justice

    T1, T2, P20/Arrêt : les Halles – Marché

    Coxitis/Arrêt Bernadotte.

     

    CIAPA : 100 avenue du Loup 64000 PAU

    Tél. : 05 59 80 16 37 – Fax : 05 59 84 34 03

    Site : www.ciapa.com

     

  • Bieres : hausse des droits d’accises (19 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121002543.html

     

    Question écrite n° 02543 de M. Jean-Marie Bockel (sénateur UCR du Haut-Rhin)

    Monsieur Jean-Marie Bockel attire l'attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l'économie et des finances, chargé du budget, sur les conséquences de l'augmentation des droits d'accises sur la bière.

    En effet, le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 prévoit une augmentation du droit d'accise sur la bière, qui aura des conséquences néfastes à l'encontre de la filière brassicole française. Ce secteur fortement contributeur tant par les recettes fiscales et sociales générées directement, qu'indirectement par la place qu'occupe la bière dans la distribution alimentaire et le secteur des cafés-hôtels-restaurants ne pourrait supporter une augmentation de droits d'accises, au-delà de l'indexation annuelle sur l'inflation déjà appliquée. Cette augmentation toucherait non seulement les brasseurs, mais l'ensemble de la filière des agriculteurs aux distributeurs.

    Aussi, il souhaite connaître les mesures que le Gouvernement envisage d'adopter afin de préserver la production brassicole française et ainsi permettre aux brasseurs de maintenir leurs engagements tant à l'égard de la filière, que de l'environnement et de la politique de santé.

    Réponse du Ministère chargé du Budget publiée le 14 février sur le JO Sénat p. 511

     

    Lire la suite

  • Retraités et complémentaire santé (18 04 2013)

    Communiqué de presse diffusé le 15 avril 2013 par la Confédération Française des Retraités (cliquer ici pour accéder au site de la CFR)

    www.retraite-cfr.fr

    Communiqué de Presse n°117 : Complémentaire santé : les retraités oubliés ?

    Victimes du désengagement de l’assurance maladie obligatoire, des effets des dépassements d’honoraires, et de tarifs des complémentaires santés qui augmentent avec l’âge, les retraités sont les premiers concernés par le renoncement aux soins.

    La CFR, par lettre du 16 janvier 2013, a alerté Madame Marisol TOURAINE, Ministre, des affaires sociales, sur les effets de cette situation et demeure dans l’attente d’une réponse.

    Les députés viennent de voter la généralisation de la complémentaire santé pour tous les salariés actifs. La CFR salue cette amélioration de la protection de la santé conforme aux grands principes fondateurs de l’assurance maladie en France mais interpelle les pouvoirs publics sur l’urgence d’une solution équivalente ouverte aux retraités.

    Fait à Paris, le 15 avril 2013

     

    La Confédération Française des Retraités est constituée des 5 principales organisations de retraités : Aînés Ruraux Fédération Nationale – Groupement CNR-UFRB - Confédération Nationale des Retraités des Professions Libérales - Fédération Nationale des Associations de Retraités - Union Française des Retraités

    83-87 avenue d’Italie - 75013 PARIS – Tél : 01 40 58 15 00

    Fax 01 40 58 15 15 – courriel : conf.retraites@wanadoo.fr – site : www.retraite-cfr.fr

  • OGM : étiquetage « nourri sans OGM (15 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 14 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130204536.html

     

    Question écrite n° 04536 de M. Alain Fauconnier  (sénateur socialiste de l’Aveyron)

    M. Alain Fauconnier attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur l'étiquetage « Nourri sans OGM ». L'UFC-Que Choisir vient de rendre public, un an jour pour jour après la publication du décret autorisant la mention « Nourri sans OGM » sur les produits d'origine animale, les résultats de son enquête épinglant la trop faible présence en magasin de cet étiquetage pourtant réclamé par les consommateurs.

    Ainsi, dans le sud du département de l'Aveyron, l'UFC-Que Choisir a diligenté une enquête dans cinq grandes surfaces pour vérifier la disponibilité et la valorisation des produits portant la mention « Nourri sans OGM ». Or force est de regretter que l'appétit pour des produits « Sans OGM » n'a pas été rassasié. En ce qui concerne les marques nationales, si les rayons de la grande distribution alignent des dizaines de références parmi les aliments recherchés, s'agissant en revanche du « Nourri sans OGM », les enquêteurs n'ont trouvé dans ces magasins que trois produits alimentaires : les volailles et les œufs des Fermiers de Loué, ainsi que le saumon fumé sous vide de Labeyrie.

    En outre, pour ce qui est des marques de distributeurs (MDD), sur les cinq enseignes visitées, pas moins de trois font l'impasse sur le « Sans OGM ». Dans ce triste palmarès, une seule enseigne se distingue en proposant des produits « Sans OGM » sous ses marques propres : Simply market du groupe Auchan pour les volailles. Si l'indisponibilité actuelle de produits laitiers « Sans OGM » peut s'expliquer par la longueur de la mise en place de cette filière, pour les autres aliments en revanche les professionnels ne peuvent arguer de la récente entrée en vigueur de la réglementation, puisque les contours des modalités de communication du « Sans OGM » étaient connus dès 2008.

    De plus, sur le « sans visibilité » du « Sans OGM », aucun magasin de Millau et Saint-Affrique n'aide les consommateurs à trouver les produits « Sans OGM » dans les rayons. Quant aux étiquetages figurant sur les produits eux-mêmes, si les produits de marque Auchan bénéficient d'un marquage bien visible, la mention « Nourri sans OGM » des Fermiers de Loué ou de Labeyrie se remarque à peine. En outre, l'enquête de l'UFC-Que Choisir Millau / Saint-Affrique souligne qu'il n'y a pas de différence de prix entre les deux filières. En effet, au niveau national, les prix du jambon et du saumon fumé sous vide « Nourris sans OGM » sont respectivement 4 % moins cher et 0,3 % plus cher que leurs homologues conventionnels !

    Par conséquent, il le remercie de bien vouloir lui indiquer la position du Gouvernement dans ce domaine.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 14/03/2013 p. 870


    Lire la suite

  • Hygiène bucco-dentaire : politique (12 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121102860.html

     

    Question écrite n° 02860 de Mme Michelle Demessine (sénateur CRC du Nord)

    Mme Michelle Demessine attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la politique du Gouvernement en matière d'hygiène bucco-dentaire.

    En effet, dans un rapport en date de juillet 2010, l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) indique que « les pathologies dentaires non soignées entraînent des conséquences sanitaires collectives : pathologies générales aggravées, difficultés d'insertion, problèmes esthétiques d'où perte d'image de soi et relations sociales difficiles, dégradation de l'état général des personnes âgées dépendantes ». 

    L'IGAS pointe du doigt « un retard français en matière de prévention et d'hygiène bucco-dentaire flagrant malgré les actions menées par l'assurance maladie et les chirurgiens-dentistes ». Elle souligne « qu'il existe des gains de santé potentiels importants dans l'amélioration du comportement des personnes en matière d'hygiène bucco-dentaire ». 

    Elle souhaiterait donc savoir quelles mesures entend prendre le Gouvernement pour que l'État s'investisse pleinement dans une politique d'hygiène bucco-dentaire.

    Réponse du <ministère des Affaires Sociales et de la Santé publiée dans le JO Sénat du 14 03 2013, p. 868

    Lire la suite

  • Adolescents : alcool, tabac, stupéfiants (08 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120801421.html

    Question écrite n° 01421 de M. Louis Nègre (sénateur UMP des Alpes-Maritimes)

    M. Louis Nègre attire l'attention de Mme la ministre des sports, de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative sur l'usage d'alcool, de tabac et de cannabis chez les adolescents. 
    Menée dans 41 pays sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) l'enquête HBSC (Health behaviour in school-aged children) concerne des élèves de 11, 13 et 15 ans. 
    Elle permet de décrire et d'étudier les contextes de l'ensemble de leurs comportements de santé, dont leurs consommations éventuelles de produits psychoactifs. En France, cette enquête est coordonnée par le service médical du rectorat de Toulouse sous la responsabilité des docteurs Godeau et Navarro ; elle est réalisée avec la collaboration et le soutien de l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES). Les résultats 2010 en France métropolitaine portent sur plus de 11 500 élèves scolarisés du CM2 à la classe de seconde.

    Les premières données présentées concernent les usages de produits psychoactifs (alcool, tabac et cannabis) chez les collégiens et leurs évolutions depuis 2006. L'ensemble de ces résultats sont détaillés dans un numéro de la publication Tendances de l'OFDT, paru fin avril 2012.

    Il est à noter que les niveaux d'expérimentation d'alcool sont élevés dès l'âge de 11 ans : près de 6 élèves sur 10 sont concernés (57,7 %), ces niveaux augmentent à 13 ans (71,7 %) et 15 ans (85,8 %).

    Légèrement en hausse parmi les 15 ans, les expérimentations d'alcool sont, sinon, stables depuis 2006. Les premières ivresses, également stables, concernent 5,8 % des 11 ans, 13,6 % des 13 ans et 38,1 % des 15 ans. L'usage régulier d'alcool est déclaré en 2010, comme en 2006, par 8,5 % des adolescents de 15 ans.

    Pour ce qui est du tabac, l'expérimentation concerne 8,8 % des élèves de 11 ans. À 13 ans, un quart d'entre eux sont concernés (25,4 %) et plus de la moitié à 15 ans (55,5 %). Ces niveaux ont baissé pour les jeunes de 13 ans par rapport à 2006 (ils étaient de 29,3 %) mais sont stables pour les autres âges. L'usage quotidien concerne 18,9 % des jeunes de 15 ans, sans évolution significative depuis 2006.

    Enfin, pour le cannabis, quasi nulle à 11 ans (0,8 %), l'expérimentation concerne 6,4 % des jeunes de 13 ans et 28 % de ceux de 15 ans. Un peu moins de 3 % de ces adolescents de 15 ans déclarent des usages réguliers de cannabis, sans qu'on note d'évolution significative par rapport à 2006. 
    Au total, les résultats de l'enquête HBSC font apparaître la précocité et la prédominance de l'alcool dans les usages des plus jeunes. Une analyse non plus par âge mais par classe (de la 6ème à la 3ème) montre combien la diffusion des produits se développe pendant les « années collège ». 
    Ce constat s'observe pour le tabac, les ivresses et, dans une moindre mesure, le cannabis. Les hausses sont particulièrement sensibles à partir des niveaux de 4ème et de 3ème. 
    Ainsi, 12,7 % des élèves de 6ème ont expérimenté le tabac et 51,8 % l'ont fait à la fin du collège. 
    Pendant la période, l'usage dans la vie a donc quadruplé. Les usages quotidiens passent pour leur part de 1,0 % parmi les élèves de 6ème à 15,6 % parmi ceux de 3ème.

    L'ivresse dans la vie concerne 6,8 % des élèves de 6ème et 17,2 % de ceux de 4ème. Cette expérimentation double quasiment en 3ème pour atteindre 34,0 %. 
    Pour le cannabis, les niveaux d'expérimentation inférieurs à 4 % en 6ème et 5ème, passent à 11,4 % en 4ème. Ils doublent en 3ème (23,9 %).

    Il souhaite savoir quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour lutter contre ces fléaux

    Réponse du Ministère des sports, de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative publiée dans le JO Sénat du 21/03/2013 - p. 962


     

    Dans le cadre du plan «santé des jeunes» lancé en février 2008, la mission confiée aux consultations de repérage et d'orientation pour jeunes consommateurs de substances psychoactives et leur entourage avait été élargie à la prise en charge des alcoolisations intenses.

     

    Dans le plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les toxicomanies, le ministère a élaboré un guide intitulé « prévention des conduites addictives et animation » à l'usage des organismes de formation au diplôme d'État non professionnel de l'animation BAFA et BAFAD, disponible en ligne sur :  http ://www. jeunes. gouv. fr/guide-prevention-des-conduites.html

     

    Ce travail de lutte contre les addictions est décliné par des associations de jeunesse et d'éducation populaire qui sont soutenues, par le ministère, dans le cadre de conventions d'objectifs. Par ailleurs, les points accueil écoute jeunes (PAEJ) et les espaces santé jeunes (ESJ) proposent un accompagnement adapté et des moments d'échange privilégiés qui permettent aux jeunes de faire le point sur les dangers de la consommation des différents produits (tabac, alcool, drogues).

     

    L'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES) apporte, quant à lui, un soutien important aux jeunes et à leurs parents par le biais de services d'écoute téléphonique dédiés, tels qu'«Adalis» ou «Fil Santé jeunes», et de sites internet interactifs. Ces modes d'information se modernisent aujourd'hui pour être accessibles sur les smartphones via les réseaux sociaux et les applications.

     

    Enfin, deux projets portés par le réseau Information jeunesse pour la lutte contre l'usage des drogues ont été retenus en 2012 pour un financement sur le fonds de concours de la Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues et les Toxicomanies (MILDT) avec l'objectif d'amener les jeunes à être acteurs de leur santé. Cet effort de prévention sera poursuivi au vu des résultats de l'enquête européenne « Health behaviour in school-aged children » (HBSC) 2010, qui met en évidence la nécessité de poursuivre les politiques de prévention afin d'inverser les tendances en matière de consommation et de drogues.

     

    Le ministère de la jeunesse renforcera son action en proposant des mesures adaptées dans le futur plan de la mission interministérielle de lutte contre les drogues et les toxicomanies 2013-2015, au regard des enseignements tirés par le fonds d'expérimentation pour la jeunesse (FEJ).

     

    Lire la suite